Dans notre édition du 30 novembre dernier, nous vous informions du dossier nautique qui voguait à son allure, vent de trois quart avant. Ce jour, une brise s’est levée et le dossier annonce 50 nœuds.
Le vendredi 4 décembre 2015, SUD, comme ces consœurs syndicales, recevait par mail le compte-rendu de l’après-midi du 27 novembre 2015 relatif aux échanges sur le projet Centre Nautique Départemental (CND). Le CEM s’y fendait d’un commentaire où la décision actée lors de cette réunion du 27 n’était qu’un vaste souvenir.
Pour rappel, le CND placé sous commandement géographique au Groupement de Nantes, s’articulait autour d’une équipe subaquatique évoluant de mai à septembre sur le CIS Saint Nazaire et le reste de l’année au CIS Nantes-Gouzé.
SUD n’était pas en accord avec cette décision, car ne répondant pas à sa position exprimée lors de la remise des copies en amont de la réunion du 27 novembre. Néanmoins, SUD s’y conformait puisque son attente première, depuis plusieurs années, était une vraie décision politique avec une ligne de conduite claire et sans ambiguïté. Enfin chose faite …
Ce vendredi 4 décembre, par le mail du CEM, SUD apprenait que cette décision politique avait évoluée. Voici ce que mes sources habituelles ont extraits du dit mail :
« – Un CND nautique adossé au Groupement territorial de Nantes,
– Une équipe départementale composée de 3 SAV/SAL à NANTES toute l’année issus de l’ensemble des ressources départementales SAL, en piquet dédié,
– Plus de piquet SAL à ST NAZAIRE mais un renforcement des équipes SAV en piquet dédié de Mai à Septembre pour la saison estivale,
– Le recours à l’interdépartementalité SAL (sollicitation des secours des autres départements) à chaque fois que nécessaire. »
SUD sait que l’intervention d’un officier supérieur auprès des élus – par son affirmation dans l’impossibilité à mettre en place un CND comme initialement pensé – a influée sur la décision politique finale.
SUD comprend le mécontentement des personnels concernés par ce revirement de situation mais ne s’associe pas à cette expression. Car, notre étude démontre que le positionnement du CND sur la ville de Nantes répond à toutes les obligations techniques nécessaires à un service d’urgence de qualité, quelques soit la situation géographique du contribuable.
SUD n’a pas philosophie à défendre une entité plus qu’une autre, sur des principes personnels ou dans l’espoir de gagner la sympathie de certains. SUD n’est pas dans la chasse à l’adhérent. Dans ce dossier, la seule et unique composante que SUD a prise en compte est un service public digne de ce nom !
SUD va être plus qu’attentif à l’application technique et stratégique du SDIS 44 sur ce dossier CND. Bien entendu, les recommandations de SUD sur ce projet tout comme le compte-rendu de la réunion du 27 novembre 2015 restent à la disposition de tous.
Par Jean BRANLPASUNE – Journaliste à SUD T’Smach
Service d’urgence de qualité n’importe ou? On ne doit pas avoir les même définitions…
Vous défendez qui par cette prise de position, moi pas comprendre? Soit vous ne dites pas tout, soit vous êtes équipez d’un système de transportation à Nantes… Bravo et merci pour les gens qui n’habitent pas la région nantaise.
Bonjour, afin de répondre à vos interrogations, nous avons réalisé un nouvel article: https://www.sud-sdis44.com/pourquoi-sud-tu-ne-participes-pas-au-mouvement/.
Bien entendu comme vous pouvez vous en douter il n’est pas réellement fait pour vous au vu de votre prose qui semble obscurcie par votre haine de notre syndicat. J’ai malgré tout pris le temps de vous répondre car nous ne sommes du genre à censurer les commentaires et je tiens à rajouter une chose pour vous et les autres qui se cachent derrière des pseudos et emails ridicules: le portail est équipé d’un système qui nous permet de savoir d’où le message est envoyé et donc qui est l’auteur qui n’a pas le courage de publier sa vrai identité. De ce fait nous conclurons par un proverbe corse: “Appétu à un ditu, un si pò ómu asconde” ou en Français: “On ne peut se cacher derrière un doigt.”
Syndicalement SUD SDIS 44